Janvier 2016 | Toute l'actualité de l'association | ![]() |
L'ACTUALITE DE L'ASSOCIATION |
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Présentation | Benchmark Financier le 24 mars 2016 lors du RDV Technique de Paris | |
![]() Prochainement téléchargeable sur le site pour les adhérents. |
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Rappel | L'association THERMOFORMER vous invite | |
Au Rendez-Vous Technique le 24 Mars de 13H à 17H
avec le soutien de la Fédération de la Plasturgie Programme
Accès & Contacts Adresse de Fédération de la Plasturgie : 125 rue Aristide Briand, 92300 Levallois-Perret Nous contacter: Par mail à Par téléphone au 06 51 14 34 47 Pensez à réserver dés aujourd'hui cette date dans votre agenda ! |
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Focus | Les chiffres du mois | |
4 Consultations pour la période Janvier-Février |
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LES ACTUALITES DU RESEAU |
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Entreprise | Mariage dans la filière plasturgie dans le grand Est | |
![]() Une nouvelle entité de la plasturgie créée en région ALCA. 2016 c'est la naissance d'une nouvelle entité de la plasturgie en région Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine, née de la fusion de Plasturgie Grand-Est et Allizé-Plasturgie Lorraine-Champagne-Ardenne. Le bébé s'appelle Allizé-Plasturgie Grand Est et devrait porter une filière industrielle très dynamique, dans les Vosges notamment. " Cette fusion hisse l'Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine au 4e rang des régions françaises pour la plasturgie ", énumère Aurélia Le Roux, délégué régionale d'Allizé Plasturgie Grand Est. La fusion des deux organisations professionnelles qui se répartissaient la filière économique de la plasturgie sur les trois anciennes régions, porte en elle un nouvel essor pour le territoire. Sous la direction de David Leleu, la nouvelle entité sera désormais basée à Schiltigheim, auprès du siège strasbourgeois de la région. Une autre partie sera installée à Nancy et à Reims pour assurer la proximité sur un territoire d'une superficie avec 57 000 kilomètres carrés. " Le rôle d'Allizé-Plasturgie est de faciliter, fédérer, faire travailler ensemble des entreprises leaders. Nous accompagnons sur le droit du travail, l'innovation, avec une expertise métier très fine ", poursuit Aurélia Le Roux. Dans la grande région,14 000 salariés se partagent la filière au sein de 300 entreprises, dont rien qu'une cinquantaine sur le département des Vosges. Avec 27 technologies clés, qui vont du moulage de pièces en plastique, à la production de matériaux composites, le recyclage… Dont bon nombre sont leader sur leur secteur : BERICAP réalise des bouchons pour une célèbre marque de sodas, TODA fabrique des liens en plastique, Elbé Technologies travaille les matériaux biosourcés, Sorepla est spécialisé dans le recyclage de bouteilles en plastique, MEA est leader sur la conception de matériaux pour le bâtiment, Mecaplast est spécialisée dans l'équipement automobile, VIP assemble des pièces en plastique,... pour n'en citer que quelques unes. Le secteur est en plein essor dans les Vosges, beaucoup d'entreprises qui étaient attachées au textile se sont tournées vers la plasturgie. " L'effet d'émulation est tel que lorsqu'un chiffre d'affaire augmente d'un euro, on génère 2,27 euros grâce aux sous-traitants. " Avec un chiffre d'affaires moyen de 11 millions d'euros dans la nouvelle région, la filière plasturgie réalise également 42 % en volume de son chiffre d'affaires à l'export, ce qui représente 1,3 milliard d'euros en 2015, un montant qui a doublé en cinq ans. La proximité de l'Allemagne et de son industrie automobile puissante est une aubaine pour les entreprises limitrophes. C'est aussi dans la formation que la plasturgie est dynamique, notamment dans les Vosges où la Chambre des métiers et d'industrie dispense une Licence pro éco-conception en plasturgie et composites. " Nous avons un taux d'embauche de 100 % en sortie de formation. Mais ce sont des métiers méconnus, dont nous essayons de valoriser l'image ces dernières années. Les plus jeunes ont du mal à comprendre ce que la plasturgie propose. C'est une multiplicité de matériaux, avec des technologies très différentes, ça brouille souvent l'image. Il y a l'impression d'une industrie du début du siècle alors qu'on y travaille plutôt dans des salles blanches ! Sur des secteurs très variés comme l'automobile, le sport… " Les entreprises régionales, pour certaines âgées de 30 à 40 ans d'existence, doivent faire face également à un renouvellement du personnel avec des ressources humaines difficiles à dénicher. Au-delà de la question de son image, la filière de la plasturgie affronte deux défis, détaille Aurélia Le Roux : " L'innovation à l'heure de la mondialisation est capitale pour rester compétitif. Nous travaillons par exemple, dans la région, sur des circuits imprimés nouvelle génération, c'est une technologie-clé française. Ensuite, il y a la question du recyclage des matériaux plastiques, un secteur porteur mais qui nécessite encore de se développer. " La plasturgie en 'Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine c'est : Par Florent Potier | Publié le 21 Janvier 2016 |
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Entreprise | Un centralien chez Coveris Europe | |
![]() Depuis le 1er janvier 2016, Eric Grégoire préside la division « Food & Consumer » de l’américain Coveris pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique (EMEA). « Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, il dirige les activités de développement et pilote la stratégie de croissance du groupe ; il est basé en Allemagne », précise le groupe dans un communiqué. Il pilotait les activités de Birla Carbon (noir de carbone) en Europe et en Afrique depuis 2012. Titulaire d’un Master en physique appliquée de l’Ecole centrale de Paris, Eric Grégoire a essentiellement travaillé dans la chimie et la plasturgie. Il a commencé sa carrière chez DuPont. En 2004, il rejoint GE Plastics comme directeur général pour l’Europe occidentale. A la suite de l’acquisition de cette division de GE par Sabic, il supervise son intégration en Arabie saoudite. En 2008, il prend la direction générale de Marioff (groupe United Technologies, protection anti-incendie) en Finlande. Groupe d'emballage plastique (rigide et souple) basé à Chicago (Illinois), aux Etats-Unis, Coveris réalise un chiffre d’affaires de 2,76 milliards de dollars (2,57 milliards d’euros), emploie 9000 personnes et dispose d’une soixantaine d’usines dans le monde. Par Arnaud Jadoul | Publié le 14 Janvier 2016 |
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Actu | AIN Une cinquante d’emplois pour la Plastics vallée | |
Le Pôle européen de la plasturgie (PEP) se double désormais d’un centre technique industriel au service de l’ensemble de la filière. D’ici quatre ans, une cinquantaine d’emplois vont être créés et le budget de l’établissement sera doublé.
De nombreuses problématiques telles que l’éco-conception, le recyclage ou bien encore l’impression 3D (présentée par David Muller, responsable business unit procédés et outillage au PEP) seront traitées par le Centre technique industriel de la plasturgie et des composites. Photo d’archives Laurent JAOUEN La plasturgie française a son centre technique industriel (CTI), et il est basé à Bellignat. Une consécration pour la Plastics vallée qui s’est battue pour accueillir cet établissement. « Rien n’a été simple », ont reconnu Damien Abad, député de la circonscription et Michel Perraud, maire d’Oyonnax et vice-président de la communauté de communes haut Bugey. Les élus ont dû batailler ferme pour défendre à Paris un dossier que beaucoup auraient voulu s’approprier. Il n’en est rien et le 4 février prochain, le conseil d’administration devrait élire à sa tête Paul Valette, le président du groupe Grosfillex. « Une opportunité extraordinaire » En pratique, ce centre technique industriel de la plasturgie et des composites sera un outil essentiel pour la profession. Il aura deux missions majeures. La première : améliorer les performances, la productivité et la compétitivité des entreprises dans le respect des exigences du développement durable. Et la seconde : faire progresser les connaissances scientifiques et technologiques, innover et transférer à la filière les savoir-faire sur les matériaux, les procédés, les produits et les services associés. Pour répondre aux défis qui l’attendent, le CTI disposera d’un budget conséquent estimé entre 18 et 19 millions d’euros, soit le double de celui du PEP. « Il s’agit d’une opportunité extraordinaire. Grâce à ces nouveaux moyens financiers, nous pourrons développer davantage encore les actions de recherche/développement. Et ainsi anticiper les besoins futurs de la plasturgie tout en augmentant les compétences des entreprises. On va s’adresser aux PME qui constituent 80 % des plasturgistes. Nous allons mener un travail de terrain, avec des agents en région chargés de recueillir les besoins des industriels, et un numéro vert sera mis en place », insiste Claude Doche, vice-président Innovation et stratégie au sein du PEP. Le programme prévoit le recrutement d’une cinquantaine de personnes en quatre ans (les premières embauches devraient avoir lieu dans les mois qui viennent). Ainsi que le rapprochement avec l’Institut supérieur de plasturgie d’Alençon (Orne). Cédric Loubet |
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Technologie | TraceCONNECT - La traçabilité de chaque emballage sur le net | |
![]() Imaginez chaque boîte de votre pâté préféré tracée individuellement et connectée au web par le biais d'un cloud ? C'est l'innovation que développe TraceCONNECT à la pépinière des innovations depuis novembre.
La traçabilité des produits est devenue un enjeu stratégique pour tout fabricant. Un thème encore plus sensible pour l'industrie agroalimentaire, qui doit être capable de réagir au plus vite en cas de crise sanitaire. Et ce à l'échelle mondiale. « Une traçabilité totale et immédiate » C'est ici qu'intervient désormais TraceCONNECT. Avec cette société, le QR code ou l'étiquetage NFID n'est plus un outil marketing pour diffuser la communication que l'entreprise souhaite donner mais une technologie qui peut aussi être lue par connexion sans fil NFC. « Pour chaque boîte, nous pouvons donner par exemple toute l'information sur un cochon, son lieu d'élevage, ses aliments, l'abattage, la transformation. Mais aussi gérer les stocks, les bons de livraison, les facturations. L'information est consultable sur le net grâce à un cloud sécurisé installé sur le territoire national. C'est une traçabilité totale et immédiate », précise Franck Jouanic, cofondateur de la société avec Grands Vins de France International installé au marché de Rungis, dirigée par son frère Yves. C'est d'ailleurs ce dernier, qui dispose d'un partenariat technique avec la société Tracecode à Troyes pour la recherche et le développement, qui a eu l'idée de lancer TraceCONNECT pour commercialiser et assurer l'intégration de la technologie dans la chaîne de production du client. Lutte contre le marché gris Une innovation qui permet aussi de tracer le consommateur flashant un QR code. Ou encore de lutter contre le marché gris. « Un client producteur de champagne haut de gamme, qui commercialise son produit aux USA dans un réseau d'épiceries fines, a pu trouver le malveillant qui avait mis en vente des bouteilles à moins cher dans la grande distribution. Cela lui a permis de rassurer son réseau », explique Franck Jouanic. Et TraceCONNECT ne se limite pas à l'agroalimentaire. « Nous travaillons sur un projet pour un constructeur de deux roues motorisées. Sur de la peinture industrielle pour coque de bateau, pour garantir les bonnes conditions d'utilisation notamment météorologiques, pour que l'armateur ne se retourne pas contre le fabricant », indique-t-il. Quimper : « Un choix assumé... » Pourquoi Quimper ? « J'ai vendu Quimper », dit ce spécialiste informatique, ancien pilote de ligne, qui a revendu en 2004 son bureau d'études sur les bateaux de servitude pour un break et une installation au grand air en Bretagne. « La Cornouaille est une zone dynamique pour l'agroalimentaire. Au départ, je cherchais une reprise d'entreprise. Il n'y a pas besoin de s'installer à Rungis, ici tout l'environnement existe. C'est un choix assumé, on peut le faire avec performance ». © Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/finistere/quimper/traceconnect-la-tracabilite-de-chaque-emballage-sur-le-net-14-01-2016-10919373.php?utm_source=newsletter_2016-01-15&utm_medium=email&utm_campaign=Newsletter#OQiHe3FuVKw3zp0S.99 Par Jacky Hamard | Publié le 14 Janvier 2016 |
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Entreprise | Sirap reprend Vitembal | |
Par Anne Devailly (Languedoc-Roussillon) - Publié le 28 janvier 2015, à 18h24
![]() Le tribunal de commerce de Nîmes (Gard) valide la reprise de l’entreprise Vitembal par le groupe italien Sirap. Le groupe italien Sirap Gema a repris la société Vitembal, qui était en redressement judiciaire depuis juillet 2013. Sirap s’engage à garder 117 salariés sur les 198 du site gardois. Vitembal, basé à Remoulins dans le Gard rhodanien, était spécialisée dans la fabrication d’emballages alimentaires en polystyrène expansé. Elle est reprise par le groupe Sirap, qui fait le même métier et qui possède une usine à 35 kilomètres de là, à Noves, près d’Avignon, dans les Bouches-du-Rhône. "Notre projet industriel avait du sens et a convaincu le tribunal, explique le directeur de Sirap France, Franck Dumas Delage. A la fois parce que nous faisons le même métier que Vitembal et parce que nous sommes proches géographiquement." Une dizaine de salariés pourraient se voir proposer des reclassements sur le site de Noves, pour l’instant beaucoup plus modeste que le site gardois. Deux sites pour une seule marque Sirap France, avec ses deux sites de production, compte désormais 220 salariés. La société prévoit de produire en France plus de 800 millions de barquettes, pour un chiffre d’affaire prévisionnel de plus de 45 millions d'euros. Les deux sites travailleront désormais pour la seule marque Sirap. Sirap appartient au groupe financier italien Italmobiliare, qui va investir en 2015 plus de trois millions d’euros sur les deux sites français. Le groupe possède sept autres usines en Europe. Aucun autre repreneur ne s’était manifesté auprès du tribunal de commerce pour reprendre Vitembal. Anne Devailly |
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Technologie | La nouvelle Thermoformeuse GEISS « T 10 » | |
![]() La thermoformeuse pour plaques T10 rencontre un véritable engouement !
Depuis son lancement, il y a moins d’un an, la T10 s’implante en France et les premières machines sont déjà en cours de livraison. Les thermoformeuses GEISS de la série précédente étaient déjà très précises compte tenu de la technologie pneumatique dont elles étaient dotées. Avec la généralisation de la motorisation électrique à tous les mouvements, leurs vitesses (+ 60% !) et leurs précisions offrent des caractéristiques jamais atteintes. Le niveau d’automatisation est également de plus en plus poussé tout en garantissant le résultat attendu dès la première pièce. Les économies d’énergie ont été une préoccupation majeure, dès la conception. Avec l’emploi de nouvelles solutions, sa performance énergétique est sans égal. Par exemple, l’emploi de variateurs pour la régulation des pompes à vides permet une consommation à la demande de la juste énergie nécessaire. La porte frontale à verrouillage automatique est dorénavant de série. Concernant le niveau d’automatisation, pour mémoire, grâce à son chargeur automatique de plaque (invention Geiss), la palette de plaque est introduite par l’opérateur directement dans le chargeur à l’aide d’un transpalette, puis le centrage et le positionnement des plaques s’effectue automatiquement dans le poste de formage et la pièce moulée est expulsée par un bras motorisé. La dernière réalisation de Geiss est l’automatisation complète des changements de moule et du chargement des plaques grâce à un chariot autonome qui combine les deux fonctions :
Une dernière innovation concerne la phase déterminante du temps de cycle qu’est celle du refroidissement, il est accéléré grâce à un nouveau système centralisé et généré par une turbine, puis conduits d’air et buses orientables pour une distribution économique et homogène de l’air.
En conclusion, avec la T10, la synchronisation mécanique de la table n’est plus nécessaire; Les niveaux d’économies de temps de cycle, de consommation donc d’argent à chaque étape du cycle de production ont rejoint les niveaux les plus aboutis rendant, de fait, les générations de machines précédentes obsolètes! A noter : Nous serons présents au salon JEC WORLD – Paris Nord Villepinte du 8 au 10 mars 2016 Pour tout renseignement n’hésitez pas, contactez : Pierre MOREL - PMA Tel : 04 75 25 68 28 – - www.geiss-ttt.com |
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Presse | Accord pour augmenter les salaires minima de la branche en 2016 | |
![]() La Fédération de la Plasturgie et des Composites signe un nouvel accord pour augmenter les salaires minima de la branche en 2016 La Fédération de la Plasturgie et des Composites et deux organisations syndicales de salariés
représentatives (CFDT et CFE-CGC) ont signé un accord sur les salaires minima de branche. Il prévoit une augmentation générale des minima de la branche de 0,5%. Cette augmentation se fera, en une seule échéance, en février 2016. « Cet accord s’inscrit dans notre volonté d’un dialogue social responsable et dans le maintien de la politique sociale initiée depuis maintenant 5 ans. La Fédération s’engage au quotidien pour les entreprises du secteur et agit en pleine conscience des enjeux auxquels font face les industriels. » explique Mathieu Dufour, Directeur des affaires sociales de la Fédération. « Il ne s’agit pas d’indexer l’augmentation des salaires minima de la branche sur celle du SMIC, celle-ci nous paraît incohérente, plus particulièrement cette année, dans la mesure elle est générée uniquement par l’augmentation des salaires accordée depuis le dernier trimestre 2014 », poursuit-il. La politique sociale de la Fédération s’articule autour de 3.points majeurs que sont la conservation de la cohérence de la grille, le positionnement du coefficient 700 au-dessus du SMIC et une revalorisation permettant de préserver le pouvoir d’achat des salariés payés au minima de branche. Cet accord sur les salaires minima entrera en vigueur sous réserve qu’il ne fasse pas l’objet d’une opposition majoritaire. Par ailleurs, il donne la possibilité aux entreprises de procéder en 2016 à un abattement de 5 % sur la rémunération prévue au coefficient 900 pour les cadres débutants. Levallois-Perret, le 4 février 2016 |
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Entreprise | Team Plastique investit 2,6 millions d’euros | |
![]() Cette extension sera équipée de machines et de robots de dernière génération. Au total, l’entreprise dépense 2,6 millions d’euros pour se moderniser, répartis à parts égales entre outil de production et coût de construction. Trois nouvelles machines de thermoformages sont prévus dans le nouvel atelier et les robots qui seront installés sont des modèles polyarticulés prévus pour le collage en série de pièces. Le bâtiment de production et de stockage bénéficiera également des dernières technologies, avec près de 600 mètres carrés de panneaux photovoltaïques et un éclairage à base de led. Cet investissement doit accompagner le développement de l’entreprise dans le domaine de l’automobile, grâce à un contrat récemment obtenu et qui doit commencer en 2017. La production de Team Plastique est orientée à 50% vers le secteur de l’aéronautique, suivi par le médical, le nautisme et les transports terrestre. La société emploie 88 salariés. vendredi 12 février 2016, par Alexandre Couto |
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Entreprise | Gaillon investit sur ses lignes avec un nouveau doseur | |
![]() installation de dosage sur notre ligne PEHD. C’est en partant du constat que les volumes progressent très rapidement sur ce polymère que nous avons décidé cette amélioration. La nouvelle ligne permettra l’optimisation des dosages de charges (talc, carbonate de calcium, anti UV, colorants) et donc de meilleures thermoformabilités et constances des réglages chez les thermoformeurs. Des recettes toujours mieux adaptées aux besoins et aux cahiers des charges
+ Une optimisation de process pour toujours être au meilleur niveau qualité/prix. = C’est ainsi que nous souhaitons répondre au plus près aux besoins des marchés Gaillon SAS 367 bd Napoleon Bullukian, 69830 Saint Georges de Reneins Tel : 04.74.67.79.67 |
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